Irradiance

Publié le par Maïna

Porté par la voie, porté par le croix je sonde l'insondable, pantin de bois et pantin de cire, les files sont muables. Je suis l'oiseau du désire perdant les ailes sur sont nid! Sondant l'insondable, Babylone s'écroule, faisant place à la mer(e) se mariant au ciel! J' 'ère dans les éphémère. La porte dans les nuages, s'ouvrent et l'étoile du midi tombe! Je déploie mais ailes mais reste immobile. Je regarde ma cible qui tombe, comme pour me marier à elle dans le temps et l'infini. Je ne sais! Je ne sais ! je ne sais plus! je ne sais plus .
Rigole des temps oubliés vous avez chercher à me suicider. Je te tend le couteau de la vie et de la mort ! Contemplation du ciel, de la mer(e) et de la terre! J' ingère la boussole infini des vérités non attendries. grand siroco des temps oubliés je regarde en ton oeil, répond par de ta vérité, donne moi le sacrée, et jamais nous ne serons damnés.

 

Maïna le 26 juillet  2006

Publié dans Poesies Personnel

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